J'anime des ateliers numériques auprès d'un public migrant
Publié par Estelle D. de l'Association ERIS
- Parler parfaitement le français
- Avoir des connaissances minimum en culture numérique
- Etre patient et bienveillant
Dans le cadre d'une formation intensive d'apprentissage du français de 3 mois, nous proposons à notre public exilé (demandeur d'asile ou réfugié) des ateliers numériques ayant pour objectif d'améliorer leur autonomie sur les outils et les usages numériques.
Pour chaque atelier, il y a 7 apprenants. Vous ne serez jamais seul, l'équipe sera là pour vous aider si besoin. Aucune raison de stresser ;)
Nous avons 7 ordinateurs fixes, et des ordinateurs portables.
Sautez le pas
Ambiance familiale avec un cadre d'apprentissage sérieux, beaucoup de belles rencontres à faire, et une équipe attentive à ce que vous vous sentiez bien avec nous ;)
Nous recherchons un ou deux bénévoles pour animer cet atelier qui a lieu le jeudi de 14h à 16h. L'idéal serait de pouvoir s'engager sur 3 mois, à négocier si trop long. Les activités sont :
- Les aider à comprendre les consignes des exercices (écrire un mail, faire une recherche sur internet, se créer un compte utilisateur, rédiger un CV, etc.)
- Les accompagner lors d'activités en ligne
- Evaluer la progression des participants
- Les accompagner dans la pratique du français à l'écrit et à l'oral
ERIS, L'Ecole de français pour les personnes exilées à Lyon Depuis 2016, l'association ERIS développe un lieu de vie et d'apprentissage, hospitalier et résilient, dédié aux personnes exilées, pour faciliter leur intégration en France. L’apprentissage de la langue, la découverte de la culture française, la création de lien social et l'accompagnement vers l'insertion socio-professionnelle sont au cœur des actions mises en place au quotidien. Nous croyons qu'en travaillant ensemble pour construire une société plus inclusive et plus juste, les personnes exilées peuvent non seulement reconstruire leur vie, mais aussi contribuer positivement à leur nouveau pays d'accueil. Nous sommes convaincus que partager une même langue fait partie des enjeux majeurs du « vivre ensemble ».
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