J'aide les demandeurs d'asile lors de leur procédure de recours juridique
Publié par ELISE B. de l'Association MéDA 38
Public aidé
Nouveaux Arrivants / Réfugiés
Activité
Pour appuyer leur demande de recours lorsque l'asile leur a été refusé, les demandeurs d'asile peuvent produire un certificat médical établi par notre association, qui décrit les antécédents et les séquelles de sévices. La mission consiste à organiser les RV de consultations médicales.
Sautez le pas
Notre association a été créée en mars 2022. L'équipe est bénévole et compte actuellement 9 médecins , 3 accueillants, un informaticien, une psychologue et ne demande qu'à s'étoffer.
Nous sommes logés dans des locaux prêtés par la ville, partagés avec l'ADA (Accueil Demandeurs d'Asile), association grenobloise très active, créée en 1986, qui nous parraine.
Nous bénéficions également de l'expérience de MéDA Lyon, dont la structure mère existe depuis 1988.
- La mission nécessite un sens de l'organisation, des capacités bureautiques de base (agenda électronique, mails) et d'aimer le contact humain.
- Les interlocuteurs sont très divers : demandeurs d'asile, travailleurs sociaux, interprètes, médecins de l'association, avocats, associations partenaires, …
L’Association Loi 1901 Médecine et Droit d’Asile 38 (MéDA 38) a été fondée en mars 2022. Nous nous appuyons sur l’expérience de l’association Médecine et Droit d’Asile Lyon, créée en janvier 2016. Le but de MéDA 38 est de recevoir les demandeurs d’asile dont la demande a été rejetée par l’OFPRA, afin d’établir et de leur remettre un certificat médical, relevant des éléments significatifs d’antécédents de traitements cruels, inhumains ou dégradants, ou présentant des séquelles physiques ou psychiques, ou présentant une vulnérabilité particulière. MéDA 38 a aussi pour but de recueillir et diffuser les informations et documents concernant le droit d’asile ; participer à la formation des professionnels de santé pour la prise en charge des exilés ; proposer un suivi psychologique en lien avec les psychologues et psychiatres d’autres organismes ; favoriser l’accès aux soins des exilés en s’appuyant sur les institutions et structures médicales existantes